Tout savoir sur les cheveux

Principe de base

L'importance symbolique de la chevelure à travers les époques et les cultures

Depuis des millénaires, la chevelure humaine revêt une signification symbolique profonde, associée à la puissance, la séduction et l’identité sociale. Des temps préhistoriques à nos jours, les cheveux ont été un élément essentiel de l’image individuelle, témoignant de l’appartenance à une catégorie d’âge, à un milieu socioculturel ou à une ethnie.

Préface

Dans l’imagerie populaire, depuis la nuit des temps, l’être humain semble avoir accordé une grande importance à sa chevelure.Les hommes et femmes de l’âge préhistorique, ne sont pas représentés chauves, mais au contraire chevelu et couvert de peaux de bêtes. Plus proche de nous, dans l’antiquité égyptienne, les femmes de noblesse, imposent à leurs esclaves féminines, des coupes de cheveux régulières, pour se faire confectionner des superbes perruques d’apparat. Tandis que les enfants princiers apparaissent sur les bas reliefs avec une longue mèche de cheveux, portée sur le côté, signe distinctif qui caractérisait leur haute lignée. Dans la BIBLE, la superbe crinière de SAMSON, est le témoin de sa force. Celle-ci est anéantie, par sa coupe sauvage, que la perfide DALILA, lui fait subir dans son sommeil. Il ne retrouvera sa puissance légendaire qu’avec la repousse de ses cheveux. Ainsi la chevelure, véritable ou artificielle sous forme de perruque, plus ou moins sophistiquée à travers les modes et les siècles, est associée à une image de puissance, qu’il s’ agisse de souverains, ou d’individus appartenant à la noblesse de robe ou de cour. Cet usage perdure avec les vêtements traditionnels de la magistrature dans divers pays. Par ailleurs, on retrouve une connotation érotique à travers la peinture et la littérature, dans la représentation d’une femme dénouant sa chevelure. Attribut de séduction, dans certaines sociétés contemporaines, on persiste à imposer aux femmes de masquer leur chevelure par le port de voiles de toutes sortes, afin de ne pas attiser la convoitise des hommes. Une prolongation de ce concept pourrait trouver son origine dans la tonsure monacale, qui ne signifierait pas seulement un signe de fidélité à DIEU, mais aussi la marque d’une volonté de renoncer aux plaisirs temporels. Peut-être pourrions nous, en rapprocher les crânes parfaitement lisses des moines de l’Extrême-Orient. Victor Hugo s’en faisait la même idée, car écrivit-il « lorsque avec ses enfants, vêtus de peaux de bêtes, échevelés, livides au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui… ». Ailleurs la perte, cette fois involontaire des cheveux, peut signifier la perte de séduction, à l’instar de l’héroïne de BALZAC, qui les conservait soigneusement pour en faire don à son amant. Tandis que le rasage du cuir chevelu a pu dans d’autres circonstances revêtir la marque d’infamie pour certaines femmes au lendemain de la dernière guerre mondiale. En tout état de cause, la chevelure a toujours constitué un élément important de l’image d’un individu qu’il s’agisse d’un signal d’appartenance à une catégorie d’âge, de milieu socioculturel ou d’ethnie. Docteur François Pacheco, spécialiste en greffe de cheveux Lille, Mésothérapie Lille, microgreffe Lille, microgreffe capillaire Lille.

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